Catégories : Fist dilatation extrême Lesbiennes bondage SM entre filles calins fist kiss Enema Lavement / Médical
il y a 3 ans
Confidences érotiques suite à une visite chez une gynécologue
Chapitre 1
J'ai 32 ans, mariée et... fidèle. Pour des lourdeurs dans le bas-ventre, mon généraliste m'avait conseillé de consulter un spécialiste. Par timidité et par pudeur, j'avais choisi une femme comme gynécologue. Le jour de la consultation, je fus reçue par l'assistante de la doctoresse, une jeune fille de guère plus de 20 ans. Comme c'était la première fois que je venais, elle commença par remplir mon dossier administratif avant de me diriger vers une cabine de déshabillage en me disant :
-
Entrez là, déshabillez-vous entièrement et enfilez le peignoir.
-
Dois-je tout retirer ?
Elle répondit avec un peu d'agacement :
- Oui, je vous l'ai dit. Mettez-vous complètement à poil ! Attendez ensuite que je vienne vous chercher...
Et elle referma la porte de la cabine. Je me mis nue et enfilai le peignoir éponge bleu, pas très ample, et qui m'arrivait à mi-cuisse. C'est dans cette tenue pour le moins gênante, que l'assistante m'introduisit quelques minutes plus tard auprès de sa patronne. La gynéco était une belle blonde d'une quarantaine d'années, à l'air sévère. Elle me fit signe de m'asseoir et me soumit à un feu roulant de questions, plus intimes les unes que les autres. Après mes antécédents médicaux, elle aborda ma vie sexuelle : tout y passa ! Je devais être très rouge, et ma gène visible semblait beaucoup l'amuser. Enfin, elle me dit :
- Installez-vous sur la table, je vais maintenant vous examiner...
L'assistante m'aida à me mettre en position : jambes relevées et très écartées. La doctoresse commença par l'examen de mes seins : elle les tata, les pétrit, pinça les pointes pour les faire dresser... Cela dura un certain temps avant qu'elle décide de passer à autre chose. À ma grande honte, ce pelotage mammaire ne m'avait pas laissée aussi indifférente que je l'aurais souhaité. Elle braqua alors une puissante lampe sur mon entrejambe, enfila une paire de gant en latex et s'assit face à mes cuisses largement écartées. Elle prit tout son temps pour examiner mon intimité, explorant toute cette zone millimètre par millimètre, du clitoris à l'anus, en passant par la vulve.
Malgré-moi, ses manoeuvres commençaient à m'exciter sérieusement et j'avais honte de me sentir mouiller ainsi... Puis elle ouvrit ma vulve et pénétra mon vagin avec ses doigts, les enfonçant, les retirant, les tournant comme pour m'élargir. Je me rendais bien compte qu'elle sortait là du cadre strictement médical, mais, d'une part je n'osais rien dire, et de plus, malgré ma gène, je commençais à prendre plaisir à ses attouchements pervers. Elle me fit remarquer :
- Je vois que vous êtes très sensible de ce côté. C'est très bien : laissez-vous bien aller. Je vais vous mettre le spéculum...
Elle dut le choisir de grande taille et l'ouvrir au maximum ! Jamais je ne m'étais sentie aussi béante : je sentais mon vagin et ma vulve distendus, à la limite de la douleur. Quand elle le retira, je fus un peu déçue. Quand elle enfonça doucement un doigt de toute sa longueur dans mon anus, je crus bien que j'allais jouir... Mais elle se contenta d'un aller-retour avant de sortir son doigt d'entre mes fesses, retira ses gants, les jeta dans une poubelle, se redressa et me dit :
- Bon je commence à cerner le problème : apparemment, rien de bien méchant. J'aurais aimé pousser l'examen du côté rectal pour être bien sûre de ne pas passer à côté de quelque chose d'important. Mais comme visiblement vous me semblez constipée, ce n'est pas évident... Quoique...
Elle fit mine de réfléchir, consulta sa montre, alla jeter un coup d'oeil à son agenda, revint vers moi et me demanda :
-
Vous êtes très pressée, aujourd'hui ? À ma grande confusion, je m'entendis lui répondre :
-
Euh... je... non, pas tellement...
-
Et bien c'est parfait. Éliane va vous donner un lavement évacuateur, vous préparer et je vous reprends ensuite. Ok ?
-
Un lavement, mais c'est horrible !
Elle me caressa gentiment la joue en me disant, souriante :
-
Mais non, petite fille, ce n'est pas si terrible ! D'ailleurs avec votre nature généreuse, ça ne m'étonnerait qu'à moitié, que vous y preniez un certain plaisir...
-
Ça m'étonnerait...
Sans tenir compte de mon interruption, elle poursuivit :
- Très bien. Allez avec Éliane et faites tout ce qu'elle vous dira. Je vous reverrai ensuite...
Je suivis la jeune fille dans une pièce voisine. Elle me fit retirer mon peignoir, et toute nue me demanda de m'allonger sur une table d'examen, sur le côté gauche, en chien de fusil... Elle me laissa ainsi, le temps de remplir un grand bock d'eau chaude qu'elle suspendit en hauteur. Elle se pencha alors sur mon derrière et je sentis une de ses mains écarter mes fesses, alors que de l'autre, elle me massait doucement l'anus avec une crème lubrifiante. Puis ce fut l'introduction de la canule, qui me parut assez grosse, mais surtout très longue : j'avais l'impression qu'elle n'en finissait pas de remonter dans mon intestin. Je dois avouer, qu'à part la honte, ce n'était pas si désagréable que ça, car la jeune infirmière agissait fermement mais avec une grande douceur.
Quand la canule m'eût entièrement pénétrée, elle ouvrit le robinet et je sentis l'eau chaude s'engouffrer en moi. Je sentais mon ventre se gonfler, et pendant toute la durée du lavement, la jeune fille laissa ses doigts tenant la canule, entre mes fesses, tout contre mon anus et la base de ma vulve, ce qui n'arrangea pas mon excitation ! Quand le bock fut vidé, elle retira doucement la canule et me demanda d'attendre un quart d'heure. Celui-ci me parut bien long! Enfin, elle revint, et me conduisit, toujours nue, aux toilettes, des WC à la turque. Comme je lui demandai de me laisser seule, elle me dit fermement:
- Pas question : je dois m'assurer que vous évacuez bien. Et puis, vous savez, j'en ai vu d'autre, et puis nous sommes entre femmes...
Je n'étais pas en état de discuter, et m o r t e de honte, je me soulageais bruyamment et longuement sous son regard intéressé, éprouvant en même temps un soulagement B e s t i a l à vider mon intestin distendu... J'abdiquais toute pudeur, toute retenue, et ne résistai même pas quand j'eus fini et qu'elle m'emmena vers la table, sans me laisser m'essuyer. De nouveau sur le côté, elle me pratiqua une minutieuse toilette de l'anus et de l'entre fesses, sans toucher à mon sexe, ce que j'attendais et redoutais en même temps... Quand elle me demanda :
- Alors, était-ce si terrible ?
Je m'entendis lui répondre "non". Elle me fit renfiler mon peignoir et me conduisit pour quelques minutes dans la salle d'attente, où se trouvaient deux autres femmes. Je me sentais plutôt godiche... Et ce fut la seconde partie de la consultation. D'entrée de jeu, la doctoresse m'annonça :
- Je vais maintenant examiner votre rectum avec l'anuscope que voici. Mettez-vous en position...
Je frissonnai : l'engin qu'elle me montrait était un long tube nickelé, d'une trentaine de centimètres de long, d'un diamètre assez important. Aidée par l'assistante, je me retrouvai donc à quatre pattes, ou plutôt prosternée, le buste sur la table et le derrière bien plus haut que la tête, genoux écartés montrant absolument toute mon intimité. Je sentis Éliane m'écarter les fesses à deux mains, pendant que la doctoresse me massait l'anus avec un lubrifiant. Elle entreprit ensuite de m'introduire l'anuscope. Cela dura, dura... Je sentais la tige dure pénétrer mon ventre, de plus en plus loin, me demandant où elle allait finir par s'arrêter. De temps en temps, elle arrêtait la progression de l'engin, revenait un peu en arrière, avant de repartir plus avant... Je dois avouer que cette sodomisation mécanique était plutôt agréable : je sentais que ma chatte mouillait de plus en plus. Enfin, mon rectum finit d'avaler les trente centimètres de l'anuscope. Et là, m o r t e de honte, j'eus droit à l'examen des profondeurs de mon ventre, et des commentaires humiliants de la doctoresse à l'intention de son assistante, du style :
- Tu vois comme elle a bien pris l'anuscope ! Mais tu aurais pu lui donner un autre lavement : elle n'est pas impeccable, loin s'en faut ! À part du caca, je ne vois pas grand-chose...
Le bouquet fut quand elle s'exclama brutalement :
-
Mais ma parole, elle aime ça, trente centimètres dans le cul ! Tu as vu comme elle mouille ?
-
En effet, oui. Elle semble apprécier !
J'aurais voulu me glisser dans un trou de souris... La doctoresse s'adressa à moi :
- Avouez que vous aimez ce que je vous fais en ce moment.
Je n'avouai rien, bien entendu, mais elle prit sans doute mon silence pour un acquiescement, car elle se mit à me sodomiser franchement avec l'anuscope, le faisant aller et venir dans mon anus. Moi qui avais toujours refusé de me laisser enculer par mon mari, je commençai à prendre plaisir à cette pénétration : bientôt je ne pus plus retenir mes gémissements de plaisir, allant même jusqu'à pousser mes fesses pour aller au-devant de cette pénétration anale... Et moi qui me croyais exclusivement clitoridienne, je me mis à jouir v i o l emment, uniquement par le cul, en poussant de petits cris plaintifs, ce que je n'aurais jamais osé imaginer... La doctoresse s'exclama triomphalement, n'attendant même pas ma réponse :
- Voyez, je l'avais bien dit...
Elle retira délicatement l'anuscope d'entre mes fesses, me disant :
- Voilà. C'est tout pour aujourd'hui. Venez vous asseoir.
Elle reprit place derrière son bureau et je m'assis nue en face d'elle, n'osant remettre mon peignoir.
- Dans l'ensemble, me dit-elle, tout va bien. Revenez dans une semaine : Éliane va vous donner un nouveau rendez-vous.
À bientôt ! Elle signifiait ainsi la fin de l'entretien. La jeune assistante me reconduisit à la cabine et me regarda me rhabiller, mais je ne dis rien : au point ou j'en étais arrivée... Puis, consultant son agenda, elle me fixa un rendez-vous auquel je n'avais pas du tout l'intention de me rendre. Au moment où j'allais prendre congé, après avoir payé ma consultation, elle me dit :
-
Retirez votre petite culotte et donnez-la moi !
-
Que... je... - Vous avez parfaitement entendu ! Ne vous inquiétez pas, je vous la rendrai à la prochaine consultation. -
Mais, et pour rentrer chez moi... C'est pas possible !
- Mais si, mais si... Allons, décidez-vous !
Je ne sais qu'elle f o r c e inconnue m'obligea à glisser mes mains sous ma jupe, empoigner l'élastique de mon slip, le baisser, puis le retirer complètement et le tendre à la jeune fille qui me sourit gentiment.
- Eh bien, à la semaine prochaine... Voici votre ordonnance pour la prochaine fois : respectez-la scrupuleusement...
J'étais toute chose en rentrant chez moi, encore sous le coup de cette ardente jouissance anale que je n'aurais jamais crue possible, horriblement gênée, mais aussi excitée, de sentir ma chatte et mes fesses nues sous ma jupe, ce qui ne m'était non plus jamais arrivé... Je me hatais vers mon domicile, redoutant le moindre coup de vent qui, troussant mes jupes, aurait montré à tout le monde que je me baladais le cul à l'air...
J'étais bien décidée à ne jamais revoir cette horrible doctoresse et son aussi horrible assistante. Chez moi, je me fis couler un bain chaud pour me laver de toutes ces humiliations, mais dans la baignoire, revivant la séance qui venait de se dérouler, je m'excitai à nouveau et me masturbai deux fois... Je me rhabillais et eut la curiosité de lire la fameuse ordonnance. En voici le texte : " Mettre matin et soir un suppositoire à la glycérine (adulte) ; Ne pas avoir de rapports sexuels les trois jours précédant la prochaine consultation, non plus que de masturbation; Habillement pour la consultation : - robe ou jupe ample et courte. Pas de pantalon, short, ou bermuda. - Ne pas mettre de soutien-gorge. - dessous autorisés : porte-jarettelles et bas, à l'exclusion des culottes, slips, gaines ou collants, quelqu'en soit la forme ou la matière."
Je haussai les épaules : pour qui me prenaient-elles ? Néanmoins, je ne sais pourquoi, je rangeai l'ordonnance dans le fond de mon sac, et le soir, quand mon mari rentra et me demanda si ma consultation s'était bien passée, je lui répondis "oui" sans autre commentaire... Avant de me coucher, je mis le suppo, me disant que ça ne pouvait me faire de mal : j'ai un tempérament assez constipé... Les jours suivants furent affreux. Je me refusais à retourner voir la doctoresse, mais chaque fois que j'évoquais la "consultation", je sentais mon sexe s'humecter et j'éprouvais le besoin irrépressible de me branler. Je naviguais entre la honte et l'excitation permanentes...
Je ne voulais pas y retourner, mais je prenais mes suppositoires matin et soir... Bien plus, dans mes masturbations, je ne me contentais plus de caresser ma vulve et mon clitoris : je m'intéressais maintenant au petit trou entre mes fesses, le massant, le pénétrant d'un ou deux doigts mouillés de salive ou des sécrétions continuelles de mon sexe...
De même, quand j'étais à la maison, je retirais systématiquement ma petite culotte ; j'osais même m'aventurer à aller acheter le journal ainsi, pour voir... Mon mari s'en rendit d'ailleurs compte un jour en passant sa main sous ma jupe : Je vous laisse imaginer son excitation ! Il m'entraîna aussitôt dans la chambre pour me baiser sauvagement. Je lui expliquai de façon fumeuse mon absence de sous-vêtement intime et par la suite, je pris la précaution de me reculotter avant son retour. Je ne voulais absolument pas renouveler cette expérience "médicale" ; n'empêche qu'une volonté plus forte que la mienne devait diriger tous mes actes : non seulement je mis tous les suppositoires, mais j'observai strictement les trois jours imposés de chasteté absolue ; avec mon mari, ce fut assez facile ; je trouvai des prétextes dont les femmes ont l'habitude : migraine, fatigue...
Le plus dur, ce fut de ne pas me donner moi-même du plaisir ! Aussi, le jour "J", j'étais dans un état de fébrilité pas possible. Je refusais toujours l'évidence, mais je pris un long bain, me récurant partout. À l'heure dite, très intimidée, je sonnais chez la doctoresse, dans la tenue stipulée : chemisier blanc sans rien dessous, jupe plissée noire découvrant mes genoux, porte- jarretelles et bas noirs, moi qui n'en portais jamais, et, bien entendu, pas le moindre cache-sexe... La jeune assistante eut un sourire de triomphe quand elle m'ouvrit la porte. Je frissonnais.
-Entrez, me dit-elle le Docteur va s'occuper de vous. Avez-vous bien suivi la prescription ?
- Oui mademoiselle, dis-je, me sentant rougir jusqu'aux oreilles.
Elle insista : - Vous avez bien mis les suppositoires ?
-
Oui, oui... je les ai tous mis...
-
Et depuis trois jours, rien, côté sexuel ?
-
Non, rien...
-
Très bien.
Elle m'introduisit dans la salle d'attente, ou les deux femmes déjà présentes me regardèrent avec insistance : je devais avoir l'air bizarre. Pas étonnant, d'ailleurs ! J'éprouvais des sentiments contradictoires. Je me sentais humiliée et excitée en même temps. Elle ne m'avait même pas demandé si j'avais mis une culotte, tellement elle était sûre d'elle... J'avais la certitude de m'être jetée tête baissée dans un piège. Je redoutais et espérais la suite... Dans un sens, je ne fus pas déçue du voyage! Éliane revint chercher une des femmes, puis, quelques minutes plus tard me fit signe de la suivre. Elle laissa la porte de la cabine ouverte et assista à mon rapide déshabillage : mon chemisier et ma jupe furent vite retirés et je me retrouvai seulement vêtue de mes bas devant la jeune fille en blouse blanche. Elle me dit :
- Vous pouvez garder vos bas. Venez avec moi, je vais vous préparer pour la consultation...
Ladite préparation consista à m'administrer un copieux lavement au bock, que je dus restituer devant elle. Puis elle m'en donna plusieurs à l'aide d'une poire : le va et vient de la canule dans mon anus, car elle la retirait souvent pour chasser l'air, me rendait folle, de même que ses attouchements entre mes fesses et près de mon sexe. Elle me fit remarquer :
- Voyez que vous commencez à y prendre goût : vous êtes toute trempée...
Je ne répondis rien : elle avait raison ! Elle glissa ses doigts dans ma chatte, me branlant quelques instants, mais n'insista pas : visiblement elle ne voulait pas que je jouisse, se contentant d'accroître mon excitation... Pour finir, elle me fit prosterner sur la table, me demanda d'écarter mes fesses au maximum avec mes deux mains, et me rasa soigneusement toute la raie des fesses et le pourtour de l'anus. Là aussi, malgré la honte et la brûlure du rasoir, je faillis jouir. Dernière évacuation, suivie d'une toilette intime pratiquée par la jeune assistante. Quand elle me conduisit près de sa patronne, seulement vêtue de mon porte-jarretelles et de mes bas, j'étais horriblement gênée, mais aussi très excitée : ma chatte était complètement liquide, à cause des manoeuvres de la jeune assistante, mais aussi de mon abstinence de ces derniers jours...
-
Ah, voilà notre amie, dit la doctoresse, comment ça va depuis l'autre fois ? Vous avez bien suivi mes indications ?
-
Oui, docteur...
Chapitre 2
- Parfait. Mettez-vous à quatre pattes sur la table : aujourd'hui je vais m'occuper plus particulièrement de votre rectum.
La jeune fille m'aida à prendre la position obscène : genoux écartés, buste appuyé sur la table, les fesses plus hautes que la tête... Tout de suite, je ressentis une sensation de fraîcheur sur ma rosette : la doctoresse préparait le terrain. Un doigt pénétra mon anus sans difficulté. Je le sentais aller-et-venir en moi, tourner pour m'élargir. Pendant de temps, du coin de l'oeil je voyais la jeune assistante préparer toute une série de tiges en caoutchouc noir, de longueur et de diamètres très divers. La doctoresse, tout en me fouillant l'anus m'exhortait :
- Allons, détendez-vous complètement. Ouvrez-vous le plus possible... Allez, plus que ça !
La jeune fille vint se placer à côté de moi, tenant un plateau sur lequel elle avait aligné au moins une dizaine des tiges que je l'avais vu préparer. Elle en tendit une, assez petite à la doctoresse. Je sentis le doigt ressortir de mon derrière, tout de suite remplacé par la tige qu'elle m'enfonça jusqu'au bout. Puis elle la fit aller-et-venir entre mes fesses. Je dois avouer que je trouvai cela plutôt agréable. Mais rapidement la tige fut échangée pour une plus grosse et plus longue. Même manège : des aller-retours dans mon fondement qui commençaient à me rendre folle... Bien que de plus en plus grosses, mais bien lubrifiées, les premières canules entraient facilement dans mon cul. Je commençai à souffrir un peu à l'introduction de la cinquième, qui devait bien mesurer une vingtaine de centimètres de long, pour un diamètre de deux ou trois doigts accolés. Je me sentais m'ouvrir, devenir béante, cependant que ma chatte n'arrêtait pas de couler. La doctoresse m'en fit d'ailleurs la remarque, toujours sur un ton humiliant :
- Mais ma parole ! Vous aimez ça, qu'on vous ouvre le fion ! Vous n'avez pas honte de mouiller comme ça ?
Je ne répondis rien bien sûr... Les tiges suivantes furent de plus en plus difficiles à absorber par mon petit trou. Plus si petit que ça, d'ailleurs : quand une canule était retirée pour être remplacée par le modèle au-dessus, je le sentais rester ouvert, attendant impatiemment d'être à nouveau pénétré... J'avais de plus en plus mal, mais en même temps j'étais de plus en plus excitée. Je m'entendais gémir, comme s'il s'agissait d'une autre, sans trop savoir si c'était de douleur ou de plaisir, et aussi, instinctivement, je poussai mes fesses pour augmenter la pénétration... Vint enfin le tour de la plus grosse, celle-ci vraiment énorme : son diamètre devait être voisin de celui de mon poignet, quant à sa longueur, elle me parut démesurée, au moins trente-cinq centimètres ! La doctoresse en présenta le bout à mon anus maintenant bien élargi par les précédentes intromissions. Je sentis la pression sur ma collerette anale et la doctoresse me dit :
- Celle-ci, vous allez vous l'introduire vous-même. Je la maintiens, et vous poussez. Allez, petite salope, emmanchez-vous !
Malgré ma honte, la douleur, les larmes coulant au coin de mes yeux, je fis ce qu'elle me demandait : je poussais mon cul vers l'arrière, m'empalant moi-même peu à peu, me demandant quelle f o r c e surnaturelle m'obligeait à agir ainsi... Centimètre par centimètre, j'absorbais la monstrueuse tige dans mon rectum. Jamais je n'avais été ainsi distendue, aussi remplie, l'anus prêt d'éclater. La tige se frayait un chemin dans mes intestins, inexorablement. Enfin, je sentis la main de ma tourmenteuse entre mes fesses écartées, comprenant que j'en étais venue à bout... La pénétration était horrible, j'imaginais mon pauvre petit trou complètement ouvert, et je me demandais jusqu'où, à l'intérieur de mon ventre remontait cette maudite canule. En même temps, je sentais ma chatte écrasée vers le bas, par son volume... Je saluais la fin de l'empalement par un s a n g lot convulsif et marquai un temps d'arrêt. Repos de courte durée, interrompu par l'ordre qui claque :
- Vous comptez rester longtemps comme ça ? Allons, bougez un peu votre cul ! Désenfilez-vous, vicieuse !
Là encore, j'obéis. Peu à peu la tige se retirait de moi, n'en finissant plus... Quand je fus presque dégagée, la doctoresse me dit :
- Maintenant, renculez-vous !
...Et je repoussai mes fesses en arrière. Chaque fois que j'étais empalée jusqu'à la garde, je devais déculer la canule. Quand celle-ci était presque ressortie, je devais à nouveau m'empaler dessus... Puis, malgré moi, je pris le rythme toute seule, sans que la doctoresse n'ait besoin de me donner d'ordre. J'allais et venais sur la tige, m'enculant moi-même dessus, malgré ses dimensions respectables... Peu à peu, j'accélérai le mouvement, sous les sarcasmes de mon b o u r r e a u :
- Tu vois Éliane, elle aime ça, se faire enculer, la salope ! Tu as vu, elle s'en met plein le cul elle-même. Je pense qu'on aurait pu choisir une tige encore plus grosse : elle l'aurait avalée tout aussi bien...
Même les insultes m'excitaient, et c'est frénétiquement que je terminai ma masturbation anale, enchaînant une série d'orgasme d'une intensité incroyable, jouissant uniquement par le cul, sans que mon clitoris n'est même été effleuré ; tremblante je me retrouvai à plat ventre sur la table, l'énorme tige toujours plantée dans mon cul. Doucement, la doctoresse me la retira, me donna une tape amicale sur le fessier et me dit :
- Allez, c'est tout pour aujourd'hui ! Éliane va vous donner un rendez-vous pour la semaine prochaine...
Je suivis la jeune fille. J'étais prise au piège : cette fois, j'étais sûre que je reviendrais subir les sévices de la doctoresse. Elle assista à mon rhabillage rapide : chemisier, jupe... Au moment de me quitter, avec une ordonnance, elle me tendit la culotte qu'elle m'avait confisquée à ma précédente consultation. La regardant droit dans les yeux, j'enfouis le tout dans mon sac. Elle me sourit... En rentrant chez moi, j'avais les jambes flageolantes.
Sur l'ordonnance, il était écrit : " Continuer les suppositoires à la glycérine matin midi et soir. - ne pas porter de culotte dans la journée. - La masturbation doit être précédée d'une demande d'autorisation par téléphone. Sans accord préalable, elle est formellement interdite, ainsi que le coït. - Tenue vestimentaire pour la prochaine consultation : idem." J'étais dans un état second. Après la séance que je venais de subir, j'avais une envie folle de me caresser. Mais je n'osais pas. Je n'osais pas non plus téléphoner pour en demander la permission... J'étais fébrile, énervée... Bien sûr, si je m'étais branlée, la doctoresse n'en aurait jamais rien su, mais c'est ainsi, je commençai à être totalement soumise à cette femme. Les jours s'écoulaient lentement. Cent fois, j'avais eu l'intention de téléphoner, cent fois je raccrochai, le numéro à moitié composé.
Quant à mon mari, je lui faisais une tête pas possible : il ne comprenait pas ce qui m'arrivait. J'obéissais scrupuleusement à la doctoresse : je ne mettais un slip que juste avant l'arrivée de mon mari, même quand je devais sortir, je m'introduisais trois supositoires par jour... J'avais rendez-vous le vendredi, et le mardi précédent, je craquais : je composai le numéro en entier. Au bout du fil, j'entendis la voix mélodieuse d'Éliane. Je me nommai et elle me dit :
- Ah, bonjour ! Quel bon vent vous amène ?
Je bafouillai lamentablement :
-
Je... je...
-
Mais enfin, que voulez-vous ?
Je m'emberlificotais :
-
Ben, euh... Voilà... puis je lâchai tout à trac :
-
Je voudrais la permission de me... caresser...
-
Bien. Attendez un instant, je vais voir si c'est possible. Ne quittez pas...
Peu après elle revint en ligne pour m'annoncer :
- Ecoutez, je suis vraiment désolée, mais le docteur ne veux pas vous accorder la permission de vous masturber.
J'eus un s a n g lot étouffé... Elle reprit :
-
Par contre, si vous pouvez tenir jusqu'à demain, j'ai un creux. Nous pourrions vous voir à 15 heures. Cela vous convient-il ?
-
Oh oui, oui... d'accord !
-
Et bien c'est entendu. À demain trois heures.
Après avoir raccroché, je me jetai à plat ventre sur mon lit et pleurai un bon moment, convulsivement, tant j'étais frustrée... Inutile de dire que je lendemain j'étais pile à l'heure ! La jeune assistante ne fit pas attendre : dès que j'entrai, elle m'entraîna dans une pièce, me disant : - Venez, je vais vous préparer...
La préparation consista, après m'être mise nue, à l'exception de mes bas, à subir une série de lavements : bock, poire, bock... Tous devant être restitués devant la jeune fille... Ultime toilette intime, subie passivement de ma part et la jeune assistante m'emmena dans une petite pièce dont l'unique meuble était un drôle de fauteuil en bois, avec accoudoirs, dont le siège n'était pas vraiment plat, à part une bande rectangulaire tout autour ! Le centre était occupé par une sorte de cône en bois, pointe vers le haut, luisant de matière grasse. D'une hauteur d'une vingtaine de centimètres, si son sommet arrondi était gros comme un doigt, il s'élargissait rapidement vers le bas et atteignait alors un diamètre très important. Ce fauteuil bizarre ne pouvait pas avoir trente-six usages ! En même temps que la jeune fille me disait :
- Vous allez vous asseoir là-dessus.
Je pensais : Je ne vais jamais pouvoir ! mon petit trou ne pourra jamais avaler une chose pareille ! Elle m'aida à m'installer, me guidant afin que mon anus entre en contact avec la pointe du cône et soit légèrement pénétré. La fille me dit simplement :
- Maintenant, vous allez vous asseoir complètement, jusqu'à ce que vos fesses touchent le siège... Vous ne devez pas poser vos mains sur les accoudoirs : mettez-les derrière la nuque. J'obéis et elle me laissa ainsi, en déséquilibre, en appui sur mes jambes demi-fléchies, qui commencèrent rapidement à me faire mal... La seule façon de les soulager était de m'empaler à fond, ce qui n'allait pas sans difficultés...
Le cône était bien lubrifié, ne demandant qu'à me pénétrer, ouvrant de plus en plus mon anus... Au fur et à mesure que mes jambes me lâchaient, je m'empalais inexorablement. J'étais loin d'être au bout que je pleurais déjà de mon cul défoncé, ouvert au possible... Quand la jeune fille revint me chercher, j'étais en larmes mais, je ne sais trop comment, mon derrière avait réussi à absorber le diabolique cône. J'avais mal au cul, qui n'avait jamais été aussi dilaté ! Elle me complimenta : - C'est très bien ! Vous pouvez poser vos bras sur les accoudoirs maintenant. Cela mérite une récompense... Ce disant, elle glissa sa main fine entre mes cuisses écartées et se mit à me caresser rapidement le clitoris. J'avais beau protester :
- Non... non...
Elle n'en continuait pas moins de me branler. Évidemment, je ne tardai pas à jouir, mélangeant intimement le plaisir et la douleur de mon anus essayant de se refermer spasmodiquement sur le pal qui l'emplissait. Je gémissais, pleurais, suppliais... Elle me laissa cuver mon plaisir quelques minutes, complètement abattue, avant de revenir me chercher pour me conduire à la doctoresse. Elle m'aida à me désempaler, me laissant l'anus béant. La gynéco m'accueillit gentiment :
- Installez-vous à quatre pattes...
Je repris la pose infamante, tandis qu'elle enfilait ostensiblement une paire de gants en latex. Quand elle se posta face à mes fesses écartelées, elle dit :
- Ah, parfait ! Je vois qu'Éliane vous a bien préparée. Vous êtes bien ouverte, ma chère ! Je vais maintenant introduire ma main dans votre rectum. Détendez-vous bien, poussez même...
À ce stade, je n'étais même plus capable de rougir. J'étais là, la rosette écarquillée, attendant qu'elle mette sa menace à exécution. Elle le fit, oh combien ! Je sentis ses doigts s'introduirent les uns après les autres, allant et venant, tournant, élargissant encore mon trou. J'avais mal, bien sur, mais en même temps ses manoeuvres m'excitaient ! Je devenais complètement maso ! Elle f o r ç a en moment et parvint à ses fins. Elle s'exclama :
- Et voilà, chère Madame, ma main est entrée toute entière ! Si vous voulez bien vérifier, passez votre main entre vos fesses...
Je le fis, et fut épouvantée : c'était bien le poignet de cette femme, avec son bracelet que je touchai, sortant grotesquement de mon pauvre petit trou... Je la sentis fermer le poing à l'intérieur de mes entrailles. Je ne m'étais jamais sentie aussi remplie ! Alors elle commença les mouvements d'une monstrueuse sodomie. Son poignet allait et venait dans mon anus horriblement dilaté, elle frappait l'intérieur de mon ventre de son poing fermé...
De temps en temps, elle retirait sa main d'entre mes fesses, remettait un peu de lubrifiant, et la renfonçait aussitôt. Je ne sais combien dura mon supplice... Je pleurais, criai, suppliai ...et finis par ressentir un monstrueux orgasme qui me laissa anéantie. Ma rondelle anale s'était refermée en partie sur la main de la doctoresse. Elle me fit encore mal en la retirant de mon cul. En repartant, je sentais mon anus encore dilaté entre mes fesses, avec la sensation qu'il ne se refermerait jamais...
Depuis ce jour, je suis devenue leur chose, totalement soumise à tous leurs désirs, leur esclave sexuelle... Je ne me demande même plus si je vais aller au prochain rendez-vous : cela va de soi ! Je suis convoquée au cabinet presque tous les jours, j'accours. Et je prends un plaisir malsain à être continuellement humiliée de la sorte. Car elles ne manquent certes pas d'imagination !
Voici quelle est maintenant ma vie, à leur service : Les seules culottes que je suis parfois autorisée à porter sont en caoutchouc et comportent deux godes à l'entrejambe, l'un pour le vagin, l'autre pour l'anus.
La doctoresse m'oblige, "pour payer mon traitement" à lui servir de bonne à tout faire. Non seulement je dois faire le ménage du cabinet, le plus souvent nue ou en petite tenue, quand ce n'est pas avec un plumeau dans le derrière, mais de plus, Éliane m'apporte à nettoyer les instruments qu'utilise sa patronne : je dois ainsi lécher très soigneusement, jusqu'à ce qu'ils soient bien propres, les spéculums et autre anuscopes, encore tièdes de leur séjour dans le vagin ou le rectum des patientes du cabinet... De même, quand l'une ou l'autre éprouve un besoin naturel, je dois l'accompagner aux cabinets, la trousser, lui retirer délicatement sa culotte et me tenir à genoux entre ses cuisses écartées, le nez sur son pubis pendant qu'elle se soulage. Quand elle a terminé, je dois lui nettoyer la vulve ou l'anus, ou les deux à l'aide seulement de ma langue : je leur sers de papier hygiénique en quelque sorte... Quand son intimité est redevenue bien propre, je suis autorisée à la reculotter avec respect... Il leur arrive aussi de pisser dans ma bouche, dans ce cas j'ai intérêt à tout avaler sans faire de manière, et gare à mes fesses si j'en laisse perdre une seule goutte !
Je suis très souvent "examinée" très intimement, avec introduction d'objets divers et variés dans ma chatte ou dans mon cul, parfois attachée, parfois devant témoins... C'est fou ce qu'elles arrivent maintenant à faire avaler à mes orifices !
Bien sûr, tout manquement, réel ou inventé, à la discipline de fer à laquelle je suis soumise, donne lieu à punition. Il y a la fessée, le martinet, la cravache... Le plus horrible étant sans doute d'être fouettée entre les cuisses, attachée en position gynécologique. Encore que le remplissage de la vulve, dans la même position d'orties fraîches ne soit pas triste non plus. Je suis aussi à leur disposition pour leur donner du plaisir avec mes doigts et ma langue... A part ça, je ne manque pas de lavements, administrés dans toutes les positions et à l'aide d'instruments variés, ni de sodomies monstrueuses, qui sont la seule façon qui m'est autorisée pour jouir : mes seins, ma vulve, mon clitoris ne sont jamais touché autrement que par le fouet...
Je ne sais pas où tout ça va me mener, mais je suis heureuse ainsi, vivant dans l'esclavage le plus abject. Maitresse a décidé que je devais divorcer pour être 24 heures par jour à sa disposition. J'ai accepté ! Je dormirai nue, par terre dans une cave aménagée. Je serai enchaînée, fouettée, battue, le cul dilaté en permanence, ainsi que la chatte, mal nourrie, abreuvée de leur urine... Je suis d'accord...
D GALLIEN
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merci pour cette belle histoire | |
Délicieusement pervers | |
Coucou, magnifique témoignage délicieux, bises |
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